ekasya trisvabhāvatvam ayuktaṃ tena nāsti tat |
evaṃ guṇā na vidyante pratyekaṃ te ’pi hi tridhā ||129||
gcig la raṅ bźin gsum ñid ni | | rigs min des na de yod min | |
de bźin yon tan yod min te | | de yaṅ so sor rnam gsum phyir | |
Or il est inadmissible que le pradhāna, un, ait une triple nature: par conséquent, il n’existe pas.—« Soit », dira-t-on, « mais les « qualités » existent en elles-mêmes. »—Non pas, car, prises une à une, elles sont triples. [Vous dites, en effet, que tout est formé des trois « qualités » : chaque qualité possède donc, outre sa nature propre, celle des deux autres].
That which by its own nature is threefold is not a unity. Because of this, such unity does not exist.
Even the guṇas are not perceived, since they are each threefold.