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Etymological Dictionary of Arabic

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WYN وين 
ID … • Sw – • BP – • APD … • © SG | 15Feb2021
√WYN 
“root” 
wayn 
wayn 
wayn 
wayn 
▪ …
▪ … 
– 
– 
wayn وَيْن , n.un. ‑aẗ 
ID … • Sw – • BP – • APD … • © FG | 15Feb2021
√WYN 
n.coll. (n.un. ‑aẗ
red/white grapes,1 black grapes.2  
▪ The term that the Arab grammarians gloss as either ‘black grapes’ (ʕinab ʔaswad) or ‘white grapes’ (ʕinab ʔabyaḍ) and which they derive from the root WYN (cf. LA, #WYN), goes back to the early stages of Ar (often referred to as pre-ClassAr), as it is attested at least as early as C8.1 Scholars have proposed two main interpretations so far regarding its origin: “the word may ultimately be Sem in origin (cf. Ar wayn, Hbr yáyin), but more likely it is an indigenous word taken into both IE and Sem languages from a third source”.2 For Sem, DRS, Kogan2011 and others reconstruct protSem *wayn‑ ‘vine, wine; grapes’.
… 
While the word is glossed as either ‘black grapes’ (ʕinab ʔaswad) or ‘white grapes’ (ʕinab ʔabyaḍ) in early dictionaries, the more modern ones (C19) give only ‘black grapes’. 
DRS 6 (1996)#WYN-1:1 Hbr(Ostraca) īn‑, Ug yn, BiblHbr yáyin ‘wine’, Sab wyn, yyn ‘vineyard’, Gz wayn ‘wine, vine, raisin’, Tña wäyni ‘vine’, Amh wäyn ‘raisin’.2 . — Outside Sem: (Hit wijana 3 ), Grk ϝoînos (Myk wono), Lat vinum, Arm gini, Alb venë, Got wein, Ir fin, Bret gwyn
The semantic similarity of wayn ‘grapes’ with the IE term for ‘wine’ (e.g. Lat vīnum) is intuitively clear (just as its formal similarity is), but no account is found in the literature concerning the semantic contrast that opposes Ar wayn ‘grapes’ to its IE and Sem counterparts that denote ‘wine’ (produce vs. processed food). 
▪ Engl wine, oEngl win ‘wine’, from pGerm *winam (cognates: oSax, oFris, oHGe win, oNor vin, Dutch wijn, Ge Wein), an early borrowing from Lat vinum ‘wine’, from pIE *woin-o‑, related to words for ‘wine’ in Grk (oînos), Arm, Hit, and non-IE Georgian and Sem (Ar wayn, Hbr yayin), probably from a lost Mediterranean language word *win-/*woin‑ ‘wine’. Also from Lat vinum are oChSlav vino, Pol wino, Rus vino, Lith vynas, Welsh gwin, oIr fin, Gaelic fion. Essentially the same word as vineEtymOnline.
Engl vine ‘plant which bears the grapes from which wine is made’, c.1300, from oFr vigne ‘vine, vinyard’ (C12), from Lat vinea ‘vine, vineyard’, from vinum ‘wine’, from pIE *win-o‑ ‘wine’, an Italic noun related to words for ‘wine’ in Grk, Arm, Hit, and non-IE Georgian and Sem (Hbr yayin, Eth wayn); probably ultimately from a lost Mediterranean language word *w(o)in‑ ‘wine’. From late C14 in reference to any plant with a long slender stem that trails or winds around. The Eur grape vine was imported to California via Mexico by priests in 1564 – EtymOnline
– 
yāʔ ياء 
ID – • Sw – • BP – • APD … • © SG | 15Feb2021
√ 
R₁ 
▪ Y_1 : The letter y of the Arabic alphabet.
▪ Y_2 : verbal prefix y˅-
▪ Y_3 : nominal prefix ya- 
▪ Y_1 : … .
▪ Y_2 : … .
▪ Y_3 : (DRS 10 (2012) #Y-2:) »Préformante nominale et élément d’accroissement radical. À quelque stade qu’on le prenne, y- comme préformante nominale, n’a qu’une existence vestigielle. Les formes lexicales dans lesquelles il apparaît, apparemment très anciennes dans toutes les langues sémitiques, sont au nombre de quelques dizaines, essentiellement des noms d’animaux ou de plantes. À quelques exceptions près, cette préformante caractérise un vocabulaire archaïque, peu usité, figé. Certaines langues, pourtant étroitement liées avec celles où une telle construction est la plus fréquemment représentée, ne la connaissent pratiquement pas. […] Les formes de ce type constituent trois groupes différenciés par la voyelle du thème, longue le plus souvent, brève parfois. A ya-R₁R₂āR₃, ya-R₁R₂ūR₃, ya-R₁R₂īR₃: cf. […] Ar ↗yaḥmūr ‘rouge; espèce d’antilope; onagre; montagne qui de loin paraît noire’ (treated s.r. ↗ḤMR), ↗yarbūʕ ‘gerboise’ (↗√RBʕ), ↗yaʕbūb ‘courrier, cheval rapide’ (↗√ʕBː~ʕBB), ↗yaʕqūb ‘perdrix mâle’ (↗√ʕQB), ↗yaʕmūr ‘chevreau, petit agneau’ (↗√ʕMR), ↗yaqṭīn ‘perdrix mâle’ (↗√QṬN), ↗yanbūʕ ‘source d’eau, fontanelle’ (↗√NBʕ). – B ya-R₁R₂aR₃ […]. – C ya-R₁R₂uR₃ […]. – La préformante serait, de l’avis de certains sémitisants, la marque de la 3sg de la conjugaison préfixale et les lexèmes constitueraient des transpositions catégorielles de formes verbales. Ainsi yalmaʕ ‘éclair’ signifierait littéralement ‘il brille’. – La transposition n’est pas aussi claire pour toutes les formes, dans cette perspective. Elle avait dû cesser de l’être à haute époque, puisque la plus grande partie d’entre celles qui nous sont parvenues témoignent de traits phoniques (longueur et timbres des voyelles) qui les différencient des formes verbales correspondantes, du moins de celles qui nous sont connues. Un exemple comme celui de yaʕmal ‘excellent chameau’, yaʕmalaẗ ‘excellente chamelle’ (<yaʕmal ‘il travaille’) où la forme verbale aurait reçu, au féminin, un suffixe nominal, illustrerait bien le statut morphologique du vocable. Comme parallèle à cette construction, on en évoque souvent une autre très répandue dans les langues du Nord, mais qui n’est pas absente de celles du Sud. C’est celle des noms propres théophores, composés par une forme verbale, à la 3sg de la conjugaison à préfixes, et un nom de divinité. C’est en effet l’une des constructions que l’on relève. Mais de manière générale, un grand nombre de noms propres sémitiques sont complexes et leurs éléments formatifs (dont l’un est un nom divin), sont soit en construction nominale comme l’Ar ʕAbd al-Raḥīm ‘Serviteur du Miséricordieux’ […], soit en construction phrastique, formant des phrases complètes nominales ou verbales. Parmi ces dernières, on relève des termes prédicatifs de formes diverses, nom, adjectif, verbe à la conjugaison suffixale, à la conjugaison à préfixes, etc. L’ordre des termes est, selon le cas, sujet – prédicat [SV] ou prédicat – sujet [VS]. C’est dans ce dernier cas, lorsque le prédicat verbal est à la conjugaison préfixale que le nom commence par le préfixe y- 3sg : Ass Iddin Bēl, Ibni Marduk, Hbr yišmaʕyah, yiftaḥʔēl, […] SAr ydʕʔb, ydʕʔl […]. Mais une autre hypothèse, qui mérite d’être prise en considération, a été proposée par Charles Pellat, Arabica IV (1957): 186, il s’agirait de restes très archaïques, antérieurs à la formation du verbe où yazīd signifierait ‘celui qui augmente’.« 
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